Plus d’un mois et demi à lire sans vraiment lire, à apprécier mes lectures sans jamais les vivre, à vouloir lire mais à pouvoir m’en passer…
En bref, un mois et demi de de pseudo panne livresque qui commençait à s’éterniser et limite, à me déprimer.
Autant vous dire qu’il me fallait rien de moins qu’un très bon livre pour me sortir de là.
J’ai eu le droit à une petite pépite.
« Are you ready?”
“No,” I say.
“Good. Let’s face the world together.”« Est-ce que tu es prête ? »
« Non »
« Bien. Allons affronter le monde ensemble »
Sometimes when I’m deep in my thoughts, I wonder if I imagined him – like a little prince that fell from the sky in search of a friend.Des fois, quand j’y réfléchis, je me demande si je ne l’ai pas imaginé – comme un Petit Prince qui est tombé du ciel à la recherche d’un ami.
“Mom, I want you to meet Natalie. She’s like a little star that fell from the sky.”« Maman, j’aimerais te présenter Nathalie. Elle est comme une petite étoile qui est tombée du ciel »
“Nat, it’s noon. Get dressed – I want to talk to you.”
“Oh c’mon, like anyone in the history of the world jumped into a shower so they could get ready for a talk .”« Nat, il est midi. Habille toi – j’ai besoin de te parler ».
« Oh allez, comme si quelqu’un dans l’histoire du monde allait se jeter sous la douche pour pouvoir avoir une discussion ».
Without warning from my friend, Sadness, my face erupts into ugly tears.
Sans avertissement de mon ami Tristesse, j’ai éclaté en sanglot.
Mais que cela ne vous arrête pas pour autant de lire ce livre car si j’ai bien compris, le tome 2 reviendrait justement en détails sur les années « expédiées » à la fin du tome 1.
Oui, ne vous arrêtez pas à ce bémol parce qu’au final, quand on lit The Album, on rit beaucoup, on pleure très fort, on aime tout le monde, on adore l’auteur, on lui en veut aussi, on tombe amoureuse, on a le coeur brisé et on est extrêmement touché par la beauté des mots, la justesse des réflexions et par ces moments magnifiques même dans la tristesse.
Et surtout, on vit.
Car The Album, c’est plus qu’un simple livre, c’est aussi une apologie de la vie.
Et si la fin m’a laissée sur ma faim, cela ne m’en donne que plus envie de retrouver ces personnages dans The Ballad.
Bientôt, le temps de les quitter un temps, pour mieux les retrouver.
Alors ce n’est certes pas un érotique et je n’ai pour ma part pas trouvé le cul trop présent, mais c’est vrai que ce n’est pas du tout un YA et ce n’est pas ce à quoi vous devez vous attendre…
Vous voilà prévenus !
Kindle Editions- 400 pages